C’était Nostre Mar 2022






Le 27 juin au palais des rois de Majorque (Perpignan) était ouverte une exposition regroupant quatre photographes (Idhir Baha, Samir Maouche, Guillaume Origoni et Dihia Taleb) portant leurs regards sur la méditerranée.





Les 27 et 28 juin, le Mémorial du Camp de Rivesaltes offrait des journées portes ouvertes. Le premier soir a été l’occasion d’une conférence-débat sur les mémoires de la guerre d’Algérie avec le politiste Eric Savarese et Dominique Sopo, président de SOS Racisme.






Les 28 et 30 juin vernissage d’une exposition de dessins « Humanismes » par Steve Golliot Villiers, le premier soir au bar Têt, au nord de la rivière qui coupe Perpignan, le jeudi à la Cave Apothicaire, au sud. L’exposition ainsi installée lie les deux rives de la ville, comme il nous faut lier celles de la méditerranée. Le samedi, l’auteur dédicaçait son dernier livre à la librairie Torcatis, autre partenaire du festival.




Un festival pour la méditerranée et contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT ne pouvait faire l’impasse sur le djihadisme. Alors que les attentats de Mohamed Merah ont eu lieu il y a 10 ans, le 29 juin, le jour même du délibéré du procès des attentats du 13 novembre, le politiste Xavier Crettiez a donné une conférence sur la sociologie du djihadisme au palais des rois de Majorque.





Un festival d’éducation populaire c’est, entre autres, proposer la projection en avant-première d’un film sélectionné à Cannes en 2022 (« Harka », sélection « Un certain regard »), offrir une restauration associative à prix libre, et rencontrer l’influenceur Nasdas.



Après la conférence de Marie Sumalla, les quatre photographes invités ont procédé à une visite guidée de leurs expositions.









Le 2 juillet, à l’appel de LGBT+66, a eu lieu la première marche des fiertés de Perpignan.





